Par arrêt du 5 avril 2019, n°18-17.442, la Cour de cassation a opéré un revirement de jurisprudence en admettant la reconnaissance du préjudice d'anxiété aux victimes d'amiante ne bénéficiant pas du régime de "préretraite amiante" (Acaata).
Ce vendredi 5 avril 2019, la Cour de cassation, réunie en assemblée plénière, devra se prononcer sur une question de principe : celle de savoir si la reconnaissance du préjudice d'anxiété, consécutif à une exposition à l'amiante, reste réservée aux bénéficiaires de la « préretraite amiante ».
Le Gouvernement vient de publier au Journal officiel du 31 mars 2019, l'arrêté du 6 mars 2019 relatif à la procédure d'enregistrement et de déclaration des données de la filière de responsabilité élargie du producteur des déchets d'éléments d'ameublement. Cet arrêté abroge et remplace l'arrêté « Registre » du 5 août 2013.
Par arrêt du 28 mars 2019 (C-487/17 à C-489/17), la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) se prononce pour la première fois sur la classification de déchets sous des rubriques dites "entrées miroirs" de la liste européenne des déchets et juge qu'en cas de doute ou d'impossibilité de déterminer la dangerosité d'un déchet, celui-ci doit être classé et traité en tant que déchet dangereux, en vertu du principe de précaution.
Par une résolution du 27 mars 2019, le Parlement européen a formellement donné son accord au projet de directive relatif à l'interdiction des plastiques à usage unique élaboré par la Commission européenne le 18 décembre 2018.
Par une décision du 18 mars 2019, le Conseil d'État a, à nouveau, étendu le champ d'application de sa jurisprudence Czabaj en l'appliquant aux décisions implicites de rejet de l'Administration.
Par arrêt du 12 mars 2019, n°16VE02590, la Cour administrative d'appel de Versailles a fait application, pour la première fois, de l'article L. 600-7 du code de l'urbanisme tel que modifié par la loi Elan.
Par un arrêté du 19 mars 2019, publié au Journal officiel le 28 mars, le Gouvernement vient de modifier, en application de l'article L. 342-12 du code de l'énergie, les taux de réfaction applicables aux coûts de raccordement des installations des producteurs d'électricité à partir de sources d'énergie renouvelable, prévus par l'arrêté du 30 novembre 2017.
Notre cabinet, représenté par Me Emma Babin, a été sollicité par l'OFATE pour intervenir, lors de cette conférence, sur le thème des installations éoliennes et des sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO et, plus précisément, sur les critères d'évaluation et pratiques de l'administration.
Par avis contentieux du 27 mars 2018 le Conseil d'Etat a apporté d'importantes précisions concernant les dispositions de l'article R. 421-1 du code de justice administrative telles que modifiées par le décret JADE.
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