Par une décision n°469526 du 8 avril 2024, le Conseil d'Etat a jugé que le juge administratif du référé-suspension ne doit pas se borner à relever l'état avancé des travaux mais doit examiner si l'impact des travaux restant à effectuer sur les espèces protégées peut conduire à regarder la condition d'urgence comme remplie. L'analyse du sens et de la portée de cette décision suppose pour l'instant de faire preuve de prudence.
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