Le 6 mars dernier, la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat a adopté l'amendement COM-493 au projet de loi « Orientation des Mobilités » visant à " flécher davantage les certificats d'économies d'énergie (CEE) vers le secteur des transports ".
Par un arrêté du 19 mars 2019, publié au Journal officiel le 28 mars, le Gouvernement vient de modifier, en application de l'article L. 342-12 du code de l'énergie, les taux de réfaction applicables aux coûts de raccordement des installations des producteurs d'électricité à partir de sources d'énergie renouvelable, prévus par l'arrêté du 30 novembre 2017.
Par arrêt du 28 mars 2019 (C-487/17 à C-489/17), la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) se prononce pour la première fois sur la classification de déchets sous des rubriques dites "entrées miroirs" de la liste européenne des déchets et juge qu'en cas de doute ou d'impossibilité de déterminer la dangerosité d'un déchet, celui-ci doit être classé et traité en tant que déchet dangereux, en vertu du principe de précaution.
Le Gouvernement vient de publier au Journal officiel du 31 mars 2019, l'arrêté du 6 mars 2019 relatif à la procédure d'enregistrement et de déclaration des données de la filière de responsabilité élargie du producteur des déchets d'éléments d'ameublement. Cet arrêté abroge et remplace l'arrêté « Registre » du 5 août 2013.
Ce vendredi 5 avril 2019, la Cour de cassation, réunie en assemblée plénière, devra se prononcer sur une question de principe : celle de savoir si la reconnaissance du préjudice d'anxiété, consécutif à une exposition à l'amiante, reste réservée aux bénéficiaires de la « préretraite amiante ».
Par deux décisions rendues le 1er avril 2019 (n° 422807 et n° 417927), le Conseil d'Etat rappelle que les juges administratifs, également tenus au respect du principe du contradictoire, doivent veiller à respecter les calendriers de procédure qu'ils adressent aux parties, lesquelles disposent d'un droit de réplique.
Le 19 mars 2019 une proposition de loi portant reconnaissance du crime d'écocide a été enregistrée à la présidence du Sénat. Le projet, porté par Jérôme Durain et les membres des groupes socialiste et républicain, vise à inscrire dans le code pénal un livre II bis " des crimes contre l'environnement " dont le crime principal serait l'écocide.
Par arrêt du 11 avril 2019, la Cour d'appel de Lyon a retenu la responsabilité d'un producteur d'un herbicide au titre du régime de la responsabilité du fait des produits défectueux. Elle a toutefois précisé qu'un produit dangereux n'est pas nécessairement un produit défectueux et ne s'est donc pas prononcée sur la "toxicité intrinsèque' de l'herbicide litigieux.
Par une décision du 7 mars 2019 publié au recueil Lebon, le Conseil d'Etat a précisé les critères de répartition de la compétence juridictionnelle pour connaître des recours formés à l'encontre des actes de gestion du domaine privé commun
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