Par un arrêt du 28 novembre 2018, n°419315, le Conseil d'Etat a apprécié l'application des articles L.122-1 et L. 122-2 du code de l'environnement aux termes desquels le juge des référés peut suspendre une décision administrative approuvant un projet de construction lorsque ce dernier n'a pas fait l'objet d'une évaluation environnementale.
La dernière lettre d'information sur les Certificats d'économies d'énergie publiée par la Direction générale de l'énergie et du climat du Ministère de la transition écologique et solidaire comporte plusieurs informations importantes pour l'année à venir.
Publié au Journal Officiel du 20 décembre 2018, l'arrêté du 11 décembre 2018 fixe les critères de sortie du statut de déchet pour les objets et produits chimiques ayant fait l'objet d'une préparation en vue de la réutilisation.
Par un arrêt du 28 novembre 2018, la Cour de justice de l'Union européenne a précisé une notion rarement appréciée par les juridictions, celle de réseau fermé de distribution d'électricité, employée en l'occurrence dans le cadre d'une opération d'autoconsommation.
Le 23 décembre 2018, a été publié au Journal officiel le décret n°2018-1204 du 21 décembre 2018 relatif aux procédures d'autorisations des installations de production d'énergie renouvelable en mer.
Par une décision du 17 décembre 2018 (n° 400311), le Conseil d'Etat transpose sa jurisprudence en matière de permis de construire modificatif à l'autorisation de défrichement, en jugeant qu'une autorisation de défrichement initiale peut être régularisée par une autorisation modificative, ce qui rend alors inopérants les moyens dirigés à l'encontre de cette autorisation initiale – en particulier ceux contre les mesures de compensation devenues illégales puis régularisées.
Par une décision n° 410360 du 3 décembre 2018, le Conseil d'Etat refuse de soustraire les fournisseurs de gaz de pétrole liquéfié au dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE).
Par arrêt du 20 novembre 2018 (CAA Lyon, 20 novembre 2018, n° 18LY00063), la Cour administrative d'appel de Lyon a saisi le Conseil d'Etat d'une demande d'avis concernant la recevabilité de nouveaux moyens développés en appel, alors qu'une ordonnance de cristallisation des moyens a été prise en première instance.
Par un arrêt du 21 novembre 2018, n°408175, le Conseil d'Etat a apporté des précisions quant à l'appréciation de la compatibilité d'une autorisation préfectorale portant construction d'un immeuble - ayant notamment pour effet la destruction d'une zone humide – avec les dispositions d'un schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux. (SDAGE)
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